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Résultat du concours " la passion d'écrire"

Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.

LLUMIERELIVE

Maîtresse des concours
Membre du personnel
#1
CONCOURS « la passion d’écrire »
Thème retenu d’après une suggestion de Prose16
Du 23 septembre au 5 octobre
Résultats le 7 octobre


Envoi de vos poèmes en copier/coller sur mon MP

Thème :
* Qu’est- ce qui vous incite à écrire, d’où viennent cette envie, ce besoin, cette passion ?
* Quelles sont les catégories de poèmes où vous sentez le plus et le moins à l’aise ? (amitié, nature, érotisme, fantastique etc.…)


Développez ces deux questions

Contrainte : écrire en prose

Attention à l’orthographe et à la ponctuation !

Vos poèmes seront notés comme à l’accoutumée avec impartialité et dans le respect total des consignes.

Chef de jury : Llumierelive

Si vous souhaitez faire partie du jury me contacter sur mon MP

Livrez –nous votre passion


écrire.jpg

*****************

médaille d'or Philaly
médaille d'argent Lecoeurentretesmains
médaille de bronze Prose16


1 Passion to write
CRISTOU 6.96
Les lettres remplacées par une apostrophe trop souvent, gênent un peu la lecture ( ex: J' jouis ) mais en font un écrit très rythmé, en harmonie avec vos sources d'inspiration. Une écriture à double voix dévoilant avec habileté l’extérieur et l’intérieur des pensées, dommage l’aspect « catégories où vous sentez le plus et le moins à l’aise » reste à développer. Excellentes expressions, le style est plaisant nombreuses qualités mais trop court du fait d'une forme ne respectant pas celle imposée

D’ces douces symphonies, j’me livre,
m’imbibe, m’enivre d’ces mélodies, m’inhibe.
Mozart, Devienne en leurs compagnie, je m’exhibe…

Je me laisse bercer par ces mélodies,
symphonique ou les choeurs
s'exhibent en harmonie,
de son lyrique et queues de pie orchestrales…

C’est dans ces sources poétique que seule j’lis,
M’relie, m’éclipse, d’leurs magies, m’imagine…
Eluard et Verlaine d’leurs écrits, m’exprime…

Violoncelle, flûte de pan,
piano à queue son mirifique,
au goût de miel.
Ou s'envoûtent mes sens…

De c’que j’imprime et mélodies, m’inspirent.
J’jouie, m’épanouie, insatisfait d’ces bruits.
M. Gaye et B. White d’leurs violons ivres, j’m’exile…

Je m'évade, me libère et m'enroule,
de vers en prose, j'ose,
de toutes causes,
qui s'imposent a moi…


C’est d’ces douces harmonies que j’m’exprime,
M’envahi et c’qui s’en suit avec sympathie.
Stromea et Waty B d’leurs chants libre, je m’incline…

Je laisse mes pensées, ma plume et sens,
mon être entier, dans ce vaste monde
où l'écriture devient,
ma seule issue…


*********************
2 La passion d'écrire... JANU 8.68
Parfaitement écrit même si un peu long, passionnant ce chemin ouvert par un être de grande valeur, ayant à cœur de voir réussir son élève, merci pour cette prose autobiographique, la passion d'écrire est bien là, Bravo ! Une vie excellemment narrée, la passion d’écrire superbement contée. La poésie, l'affaire d'une vie… l'auteur se livre avec sincérité pour répondre aux questions posées

« La passion d'écrire » est à mon sens précédée par la passion de la lecture, et les deux sont inséparables. Ces premiers mots qu'on déchiffre en entier, m'enchantaient, mais les reproduire sur l'ardoise ou le cahier, en s'y appliquant laborieusement, pour moi,
ce n'était guère passionnant !


Oui, j'ai aimé lire bien avant de me passionner pour l'écriture. Les contes que mes modestes parents n'avaient pas le temps de me raconter, je les ai découverts par moi même. Par d'autres belles histoires, j'ai rêvé de ce monde inconnu qui venait à moi…
Un maître d'école s'en est aperçu, et m'a guidé dans mes lectures à la bibliothèque scolaire : donnant donnant, un livre que je prenais pour son titre, un qu'il me demandait de lire, puis de le lui résumer par écrit. C'est la qu'est née la passion d'écrire !
Ce maître, une grande chance pour nous, non seulement nous poussait à lire mais nous incitait à écrire une histoire personnelle en rédaction libre… les meilleures étaient lues en classe, et la vanité ( déjà ) aidant on s'y appliquait.


J'ai réalisé ainsi que mon imagination n'était pas débordante mais que je pouvais raconter une histoire vécue, en l'enjolivant quelque peu !
Je me souviens d'avoir résumé en deux pages une partie de pêche de nuit où tout prenait des valeurs grandiloquentes. Lue en classe à ma grande fierté !
Et cette passion pour l'écriture s'est accentuée quand j'ai quitté la maison très jeune du fait de la guerre. Des lieux de ma nouvelle vie, je racontais mes occupations et mes délires, deux fois par semaine à ma maman et une fois à une amie qui avait pris une grande place
dans ma vie…voila pour les débuts en prose…
Pour ce qui est de la poésie, dans ma scolarité elle n'a pas tenu une grande place au début ; les fables de Lafontaine ne faisant pas rêver malgré les explications données. Mais un jour, je suis 'tombé' sur un livre concernant la vie de François Villon avec une grande partie
des poésies de ce terrible 'escholier' et ce fut le déclic. Même si dans beaucoup d'entre elles je fantasmais sur des choses que je ne comprenais pas tout à fait. Les « balades de la grosse Margot » avec le :« Ventes, gresle ou gel, j'ai mon pain cuit – je suis paillard
et la paillarde me suit... »
Cela a continué avec une 'copine' de mon âge ; petite fille riche en vacances estivales qui était férue des œuvres d'Alfred de Musset dont elle pouvait réciter et déclamer des poèmes entiers ; dans la barque, qui devenait gondole, face à la mer, sur la plage ou à l'abrides rochers : je l'écoutais fasciné…
Troisième déclic qui allait se fondre dans la passion d'écrire : au collège avec celle qui a été mon premier et le plus grand amour de ma vie, nous avons lu à deux, appris, et récité « Les roses d'Ispahan » de Leconte de Lisle :


«Les roses d'Ispahan dans leur gaîne de mousse,
Les jasmins de Mossoul, les fleurs de l'oranger
Ont un parfum moins frais, ont une odeur moins douce,
O blanche Leïlah ! que ton souffle léger.

Ta lèvre est de corail, et ton rire léger
Sonne mieux que l'eau vive et d'une voix plus douce,
Mieux que le vent joyeux qui berce l'oranger,
Mieux que l'oiseau qui chante au bord du nid de mousse…. »

C'était elle, ma Leïlah, ma rose d'Ispahan, et pour la première fois j'ai voulu le lui dire en poème…. le premier : « Je t'aime » et fait rimer « l'amour » avec « toujours » Je me souviens de ces deux premiers quatrains, du grand poète, mais plus, hélas ! de mon premier essai !


Puis, au fil du temps et des lectures, mais surtout pour ce qui m'arrivait J'ai écrit en prose : des lettres et des résumés compressés de ce qui m'arrivait et puis quelques essais en vers aussi, mais toujours tiroir-restant !
Quant à songer à être lu du public ou par des inconnus, c'est autre chose. Il faut oser…. Un jour, après bien des années cette passion là l'a emporté sur les autres ! J'ai cru bon d'écrire trois nouvelles s'étalant toutes les trois sur des amours vécus. Et j'en ai revécu le meilleur mais aussi les échecs et les souffrances subies…
Internet était arrivé ; pour moi aussi. J'ai commencé à faire le tour des éditeurs. Un seul donnait suite à mon envoi, c'était publibook.com, mais on m'y demandait une certaine participation pour l'édition ( 850 francs à l'époque ) Première déception : mon recueil classé à mon gran dam, dans leur casier : « érotique » seconde déception : le maigre intérêt des lecteurs- acheteurs…il a fallu du temps pour que je rentre dans les fonds avancés !

Je n'avais pas perdu la foi pour autant ! Toujours en me racontant, et comme si j'étais le nombril du monde, je me suis attelé au récit autobiographique de ma vie depuis la connaissance et les premiers souvenirs jusqu'à l'âge de 13 ans.
Avec un titre que j'ai cru ronflant : « le défi permanent » et sous un second pseudo tarabiscoté celui là. Il faut du temps, de l'organisation, de la décantation, des corrections aussi pour terminer un manuscrit. Certaines fois j'étais enivré par ce que je faisais
remonter, d'autres fois au contraire cela me décourageait. Mais quand enfin Tout est écrit, placé en chapitres, au format demandé c'est une joie pure qui nous étreint. Seulement voila, il faut repartir illico presto à la recherche d'un éditeur.
Après moult refus plus ou moins polis, il s'en est trouvé un pour sortir une première série de 500 exemplaires + 5 gratuitement remis à l'auteur. Une joie indescriptible s'ensuivit mais diminuant au fil des jours car la vente était laborieuse d'autant que l'éditeur
aurait voulu que je me déplace lors de certaines réunions d'anciens ci, d'anciens là, aux quatre coins de l'hexagone pour promouvoir mon bouquin. Avec mes refus, nos rapports sont devenus inexistants… exit la prose, la payante, tout au moins !
Car les échanges par internet ont peu à peu remplacés les postaux, et l'amitié virtuelle qui en découle souvent a bien une réalité.on a une famille mais on se crée des amis...

J'en arrive à la poésie. Des échanges justement, avec la responsable du comitéde lecture de publibook.com, m'ont aiguillé, quand elle a eu lu certains poèmes écrits ( et conservés dans ma clef USB ) vers « la passion des poèmes » un site important de poésie sur le web et où la gratuité de lectures aplanit les obstacles, bien sûr. Mon premier site et pas le seul avant
que je n'en arrive à Créapoèmes où je me sens à l'aise. Ma passion d'écrire y a trouvé un constant renouvellement.
Cela amène des échanges : une ruche où chacun telle une abeille livre son pollen ( l'écriture… ) et récolte son miel par l'ensemble des autres. Progrès ? Avec l'expérience, j'y crois ! et j'ai de l'admiration pour certains poètes, bien vivants ceux là, contrairement
à tous nos classiques !
Elle incite aussi à revoir les règles de la prosodie même si la poésie libre y estde mise, pour ce qui est de la forme. Pour le fond, on en a le ressenti poétique avec les commentaires récoltés. Cela permet de faire le point souvent par rapport à l'ensemble des poètes du site, qui vient après une comparaison bien moins restrictive vis à vis des grands poètes reconnus.On y détermine ses aptitudes particulières et ses difficultés. C'est ainsi que j'ai réalisé n'avoir que très peu d'imagination.
J'aurais aimé enjoliver mes thèmes choisis avec des assemblages de mots qui donnent un ressenti poétique qui ne s'explique pas ! J'aurais aimé avoir un humour décapant mais jamais malsonnant, j'aurais aimé savoir élucubrer dans la fantasmagorie pour cela il faut savoir broder et inventer des histoires : pas ma tasse de thé !

Je ne sais que raconter du vécu. Le mien avec une dose de vanité, ce moi, moi, moa que j'essaye de raboter tout en conservant la réalité des événements contés. Mais dans ce vécu, je retrouve heureusement d'autres histoires réelles : celles que j'ai recueillies
au gré de confidences d'amis ou 'd'élèves' dans des fonctions que je ne rapporterai pas ici. Ces confidences qui prouvent la véracité du dicton : « les gens heureux n'ont pas d'histoire » parce qu'ils n'en parlent pas ou guère de leur histoire ( !) Par contre on confie
ses déboires et ses souffrances parce que cela fait du bien d'en parler ou bien pour demander conseil à quelqu'un qu'on juge plus averti : Le formateur, le coach sportif deviennent sans le vouloir confident voire un peu gourou ! Ces confidences là
peuvent découler aussi d'échanges plumitifs ou au clavier qui encensent encore plus « la passion d'écrire »
Un des domaines que j'aime aborder aussi, c'est la Nature ! « Qui aime la nature est Poète » dit-on ; d'elle on n'a pas de mensonges. Une constatation : on y suit les règles de la survie, mais les prédateurs n'y tuent pas par plaisir, comme certains bipèdes
qui se disent 'humains' alors qu'ils ne sont que férocité, lâcheté, veulerie, perfidie et hypocrisie ! Et la passion de l'écrire ou d'en parler, ne suffit pas, hélas ! à corriger ces travers, mais elles permettent de les mettre au pilori. C'est un plus dont on ne doit pas se priver...



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3 Peintre, Poète ZUC 8.17
On sent parfaitement vos motivations, un écrit dynamique. Un artiste peintre/poète a livré son âme avec passion. L'auteur nous parle plus de la peinture que de sa création poétique approche de la poésie un peu trop limitée... belle écriture


D'abord il faut que vous compreniez que je fus peintre avant d'être poète... Un besoins irrésistible de création... Mon premier métier fut graphiste.

Il faut que ma peinture se fasse violence, comme l'enfance indomptée, retrouver la fraîcheur d'un essaim de guêpes.
Telle est la complainte de l'artiste dans son atelier quand il ne peint plus. Alors quand le peintre se fait anarchiste, ses mots comme des bombes explosent en couleurs à la surface des tableaux.


Mais bien trop idéaliste un peu poète même sûrement, loin, trop loin des atrocités de ce monde et de ces hommes qu'il ne comprend pas.
Il ne peint pas au pistolet, il ne signe pas de son sang, il joue du couteau et du stylo, il tranche dans le vif, il exécute avec engouement, à l'âge de 14 ans il alignait une bande de veaux* sans remord.


Aujourd'hui récidiviste, quand les images ne suffisent plus aux maux, les mots renforcent les images.
Ainsi j'ai pris la plumes pour faire envoler ma peinture. Parce que j'ai peint des paysages, des visages, des nus, puis fais de cubes et de carrés des personnages saugrenus, jusqu'à l'abstraction, j'ai même tenté le conceptuel bien que peu fervent de cet art.


Quand certains écrivaient pompeusement des tartines pour expliquer leur œuvres qui en substance étaient plus vides que leur mots "jugement personnel", j'eus l'envie de poétiser sur mes tableaux non pour commenter mais pour en apporter la continuité artistique du sujet.

Et si je peint peu actuellement, l'écrit lui me demandant moins de temps pour assouvir cette soif d'expression, aussi ai je repris l'écriture face aux angoisses ressurgissant dues à la crise, la montée du nationalisme et des intégriste de tous poils.
L'artiste toujours défendra la liberté si mince soit elle avec ses seules armes, l'imagination.


* mon premier tableaux "des veaux à l'abreuvoir"

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4 L'appât, si on délire. FYSCO 8.1
Quoique un peu long, je salue la recherche ainsi que la performance, chute excellente. Que d’humour ! Un véritable sketch dans une farandole époustouflante de jeux de mots. L'auteur jongle brillamment avec les mots, beaucoup d'humour mais le sujet imposé est peu traité

Pourquoi j'écris ? Parce que quand je parle on ne me comprend pas et que j'aime les mots, j'ai bien dit les mots, pas les maux car si j'aimais les maux, les maux pas les émaux, je serais maso donc j'écris les mots dans mon hameau à Meaux, j'ai bien dit j'écris, pas je crie, quoique je pourrais en crier des mots, encrier des mots, c'est rigolo, mais pas les maux puisque je ne suis pas maso et que j'écris avec un stylo donc sans encrier. Car c'est difficile d'en crier un, mot, il faudrait décrire le mot sans le décrier, car les mots ne s'écrivent pas pareils, pas papa raye, on ne dit pas papa raye mais papa raie, bref...donc drôle d'appareil le mot, quel chameau !...Mais que vient faire le chat dans cette histoire ? le chat pas le shah. Tiens, par exemple, primo, je vous fais une démo en promo, si je dis mot à mot, avec les animaux du shah : les maux du chat Momo du marmot du shah ( du Gémeaux), dus au chalumeau des émaux, en haut du hameau à Meaux où il a des chameaux jumeaux homos sous l'ormeau, son rameau...on passe au rat, du chat , pas au ras du chat, du chat au rat, c'est incompréhensible, et pourtant c'est possible !
Bon, je vous écris de Cesson !...cessons ces sons si saucissonnés qu'ils sonnent cent sens ou sans sens, c'est insensé. Parlons des sens...non pas d'essence, mais des sens des mots car les mots sont sensés, sont censés avoir un sens, à ma connaissance, et connaître la naissance des mots c'est connaître leur essence, ça tombe sous le sens, donc les mots sont sensés mais attention pas tous sans C . Certains sont sans C et sensés et d'autres pas... comme coloc par exemple, c'est un palindrome, c'est pas un drame.... c'est un mot avec C, non pas à vexer...oui, certains mots peuvent vexer mais il ne sont pas tous avec C...et coloc c'est pas vexant...donc coloc n'est pas sensé dans le sens où on peut le prendre à contresens par contre il est parfaitement sensé dans le sens ou on comprend le sens du mot colloque, qui est un entretien entre plusieurs personnes, ce qui est tout à fait normal quand on est coloc. Avec Sées, pas à vexer ni avec C... la ville de Sées, on a des problèmes aussi. Sées est encore un palindrome mais avec un é accentué, et si vous tuez l'accent ça fait Sees. Impossible de trouver la ville de Sees si tu paumes é, si tu paumes é t'es paumé ! Et je ne vous parle pas de ceux qui ont un accent.
J'ai aussi des ennuis avec GDF-Suez. L'autre jour je les appelle:
- Allo GDF ?
- Vous avez des F , que voulez-vous en faire, on me répond.
- Enfer ?, oui c'est l'enfer, vous me faites suez, vous m'avez coupé le chauffage pendant que je coupais le gazon.
- Ah, ah, elle est bonne, on vous a coupé le chau FF age , c'est pour ça qu'il vous reste des F, c'est ça ?
- Vous vous moquez de moi, j'ai pas chaud à mon âge, faut pas me chauffer, ça va chauffer !
- Mais , ici, vous êtes chez Eiffage et il fait pas chaud.
- Petit plaisantin, si vous ne me remettez pas le chauffage, j'appelle EDF.
Et on me répond :
- E des F, on ne vous comprend pas, écris V !
Et en plus il me tutoie !
- Si tu me tutoies, je te tue , toi!
- Mais je ne vous tutoie pas , je vous vouvoie, vous voyez.
- Je ne vous vois pas vouvoyez.
- Mais non, je ne vous vois pas au téléphone.
- Vous ne vous voyez pas au téléphone ou vous ne vouvoyez pas au téléphone?
- Comment puis-je vous voir au téléphone ?
- Pas vouvoir, vouvoyer au téléphone, vous vous voyez au téléphone puisque vous y êtes.
- Oui, mais je ne vous vois pas !
- C'est bien ce que je disais, vous vous voyez mais vous ne vouvoyez pas.
- Mais si , je me vois vouvoyer.
- Vous vous voyez vouvoyez et moi je vous entends tutoyer.
-On n'entend pas toujours ce qu'on voit.
-Quel convoi ?
- Quoi, vous me traitez de con et vous me tutoyez !
- Mais non, je vous dis quel convoi.
-Quel con voit ? mais tous les cons voient.
- Alors, vous m'envoyez un convoi, un convoi de gaz oil ?
- Pourquoi, vous habitez aux Halles?
- Je n'habite pas aux Halles, je veux du gaz, c'est tout.
- Le gaz cétou ça n'existe pas, de toute façon nous n'avons pas de gaz.
- Pas deux gaz, alors quel gaz on peut avoir ?
- Quel gazon ? mais on a rien non plus pour votre gazon.
- Mais je ne veux pas mettre mon gaz sur mon gazon, mon gars.
- Je ne suis pas votre gars, çà gaze pas chez vous et pour moi vous sentez le gaz.
Et il m'a raccroché au nez !


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5 « Ma plus belle histoire d'amour, c'est Vous »...
PHILALY médaille d'or 9.46

Cette prose est un enchantement, respectant les consignes et poétique à souhait, même si une peu longue. L’âme d’un poète digne de ce nom, magnifique écriture, consignes parfaitement suivies…du grand art ! Agréable à lire, style coulant, belle expression l'auteur aime manifestement écrire et le fait bien



J’avoue que j’aime écrire et que les lettres, dans leur palpitant tourbillon m'exaltent, me font tressaillir, me stimulent.
Elles me ravissent, quand, formant des mots, en vers ordonnés, jaillissent du palais, se courbent sur mes lèvres, s’envolent du cœur, traversent l’esprit, font escale dans l’âme, se mettent à nu comme des vers à soi…puis glissent pour s'allonger sur du papier velours…
Les mots me fascinent lorsqu’ ils m’induisent avec finesse et détermination à les séduire, à les coucher sur un tapis de feuilles, pour leur plus grand plaisir !

J’aime prendre mon essor dans le corps ailé de mes textes. Tel un papillon, j’aime butiner leur nectar, aspirer leur fragrances, le parfum des mots intimes, les absorber, me laisser séduire par ses innombrables et incontournables secrets.
J’aime toucher leur sensibilité au plus profond de « l’être » les pousser dans leurs retranchements, en enlever leur écorce, sentir leur essence ...
Je me régale quand ils se perdent subtilement dans un double sens, se lisent entre les lignes, si les idées fusent dans tous les sens. C'est un privilège de pénétrer au cœur de leurs sens, leur sang, leur âme, leur insuffler de la vie.

J’aime quand ils sont astucieux, élégants, stylés, métaphoriques, allégoriques, lorsqu’ils sont relevés d’une pointe d’audace, ou qu'ils laissent planer l’imagination sur trois points en suspension....
J’aime les enlacer. Dans une danse effrontée et sensuelle…me laisser prendre, surprendre, leur faire la cour, tout en savourant la délicatesse et la sensualité unique que dégage chaque sonorité, conjonction, interjection…


Les mots, je les aime joueurs, enjoués, embrasés, craquants, voraces, mordants, vivants !
Rouges de passion, percutants, insinuants, vibrants, un rien équivoques, un brin provocants mais toujours dosés d’humour et empreints de douceur.
J’aime qu’ils m’en fassent voir de toutes les couleurs…qu'au cours de la lutte de ce corps à cœur, l’esprit et l’âme se rendent sans résistance…

Les mots ne me font pas peur…Jamais !
Jamais je n'esquive de les affronter. Je me bats pour mes idées « ma philosophie de vie »,sans militer, sans rivaliser avec celles des autres. Car là, il n'est pas question de comparaison, de concurrence, car chacun a, de par sa sensibilité, aptitudes, son écriture propre, avec des domaines de perception et thèmes de prédilection.
Personnellement, ce sont le bonheur, l'amour, l'amitié, le développement personnel, la recherche de soi, les leçons de vie, les vertus qui sont mes moteurs d'écriture.
Bien que très admirative des textes à consonance « fantastique, surréaliste », je suis incapable de les écrire, mon imagination est encore hermétique à ce monde qui m'est abstrait et inconnu.

J'aime mettre la vie au bout des doigts pour libérer des pensées autant légères qu'existentielles dégageant de la chaleur, du sentiment, en m'exprimant sur tout ce qui compose les dégradés de l'arc en ciel de la vie : des heures tristes et sombres aux moments de lumière intense : c'est à ces derniers que mon écriture donne la primeur.
Plus rarement et parce qu'il n'y a pas de sujet tabou- dans la pudeur des mots- ce sont des cris, des ratures des cicatrices que le lecteur percevra non pas comme des obstacles au bonheur mais comme des pierres d'élévation.
Au sein de mon écriture, il y a des mémoires et des sentiments qui reposent dans ses recoins, des mots qui sont des photos prises dans la boite à souvenirs, nostalgie ancienne, ou simplement le partage de quelque chose que se répand dans l’air né d'un regard tendre posé sur l'amour.

D'un naturel optimiste, rêveur, mais toutefois réaliste, j'aime embellir ma vie de simplicité. Je ressens le besoin de laisser des traces écrites de tout ce et tous ceux qui ont enchanté ma palpitante existence. C'est grâce à eux que mon écriture gagne en maturité et s'épanouit de jour en jour.
J'ai une soif intarissable de découvrir de nouveaux mots et à travers eux mieux nous connaître, nous métamorphoser dans ce « grandir » ensemble !

J’avoue...j'aime....Non ! J’adore les mots...
D'autant que de cette passion pour l'écriture sont nés des échanges magnifiques, des poèmes intimes, des proses, un recueil mais au delà de ce bonheur qui était déjà si grand, est né un Amour extraordinaire, que je vis au quotidien avec un grand écrivain poète ….
Jérôme Touzalin a écrit : « Il n'y a pas de hasard, il n'y a que des rendez-vous qu'on ne sait pas lire ». Incontestablement, Je ne pouvais pas manquer d'écrire cette page du livre de ma vie !
Alors, vous comprendrez le titre...
L'écriture et moi, c'est une grande et belle histoire d'Amour !


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6 Confidence
CRISTOU 9.09
Prose passionnante et bien agencée, respect des consignes. Une passion d’écrire fort bien exprimée dans le total respect des consignes. Un bon style, une plume sûre agréable à lire les questions posées méritaient plus long développement

Écrire pour soi, désire avoué.
Écrire pour toi, plaisir partagé…

La prose et moi sommes bien plus qu’une amitié.
La prose et moi sommes bien plus qu’imagiers.
Livrer des formes sages et de belles magies…


Depuis tout petit, je me livre à cet exercice qui consiste à imaginer des histoires ci et là pour soi, pour toi.
Retranscrire sur papier et crayon bien taillé, aucun goût et genres ne furent épargnés de rythmes endiablés.
Durant ces nombreuses années jusqu'à aujourd’hui, chaque poème fut exploité de vers rayonnants et nuancés.
A l’exception de donner à chacun des textes un style différent, voir particulièrement unique et surprenant…
Le mien…


Ma passion d’écrire est dédié a la jeunesse, inventer, imaginer des minis contes par de minis récits. Évidement,
au fil des ans, les événements de ma vie eurent raison de l’évolution de mes actes et textes emplis de passions…
Sombres durant les périodes difficiles, joyeuses les années bonheurs au point commun mélodieux simplement.
Des années 90 à aujourd’hui, ‘‘Récit inachevé d’un Niçois perturbé’’ arrive a sa fin et restera bible sur chevet…
Le tien…


Néanmoins, une chose ne m’a jamais quitté durant cette aventure écrite et souvent solitaire, la musique…
Voyageant entre tous genres, traversant chaque génération, elle fut pour moi source d’inspiration et j’en salive.
‘‘Du jeune timide de 14 ans rêvant de devenir grand, au grand créant des concepts inexistants pour des Géants’’.
Parcourt long et difficile et textes timides, aux vers limpides parcheminés de Guests en Duos parfois satiriques…
Le sien…


Écrire reste une passion pour soi, belle façon de s’exprimer, s’évader du quotidien, s’extérioriser de la réalité…
Narrer des histoires imaginées, par le biais du site, les partager afin de se faire critiquer en bien où en mauvais.
Tout est bon a prendre et rien n’est a jeter, suffit juste d’accepter qu’a chacun, on ne plait où déplait, méditez…
Qu’importe, s’éloigner, inventer, imaginer enfin partager n’est-il pas un beau cadeau une fois le poème posté?
Retiens…


Écrire pour soi, délice à souhaits.
Écrire avec toi, s’évader, se jumeler…

La prose et moi sommes comme liés.
La prose et moi sommes comme mariés
Écrire avec déclic, décrire pour le délire…



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7 Les mots sont brodés à l'encre de ma vie...
PROSE16 médaille de bronze 9.36

Une prose qui développe le sujet avec beaucoup de sincérité et de poésie. Bravo ! Une âme poétique magnifiquement dévoilée. Auteur hypersensible et imaginatif… un peu court
Les mots me passionnaient déjà au temps de mes tresses et de mon tablier d'écolière...je goûtais avec délice à l'apprentissage de la lecture, je savourais les poésies enfantines, aimais les récitations, m'appliquais en tirant la langue pour les rédactions. A Noël, on m'offrait des livres que je dévorais comme une gourmandise, le dos au chaud contre la cuisinière à bois...

Mes deux premiers poèmes furent dédiés à des proches dont la disparition brutale m'avaient anéantie. Mon écriture d'alors traitait de thèmes très personnels, les vers loin d'être parfaits étaient certainement maladroits., mais mon cœur dictait à ma plume les mots qui ne pouvaient franchir ma bouche. Couchés sur le papier, ils se mettaient à nu...

La nature, l'Humain avec ses excès et ses fêlures, les parcours de vie, personnels ou non qui me touchent, sont sources d'inspiration. Un petit calepin est toujours à portée de main quand je me balade, au cas où quelques vers dissipés se bousculeraient brutalement dans ma tête.
Je laisse mes pensées vagabonder très loin, rêver et rebondir sur des instantanés de bonheur, d'émois, de peur ou de drames. Je peins mes vers aux couleurs des sentiments, à l'arc-en-ciel de la vie. Y naît toujours une note d'optimisme et d'espoir...
Grâce à mon imaginaire fertile, je voyage volontiers aux confins de l’irréel, du fantastique, je créée de temps à autre des contes pour petits enfants.
L'humour est salutaire et indispensable pour écrire mes maux (du corps ou du cœur) en auto-dérision.


Ma plume est bohème, tour à tour joyeuse et azurée, grave et noire, humoristique parfois, rarement érotique car pudique, elle s'est dévoilée sensuellement deux ou trois fois...
Elle se laisse submerger par des vagues d'émotion, il faut l'excuser, c'est une hypersensible qui, sous ses débordements d'optimisme, tente de cacher ses failles...


La musique des mots dansera sur les sentes de mon âme jusqu'à la fin de ma vie...

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8 Une passion vitale
LECOEURENTRETESMAINS médaille d'argent 9.38


C'est le cœur serré jusqu'à la dernière phrase que je vous ai lue et appréciée, un bel écrit touchant à cause de sa grande sincérité. Bravo ! Due d’émotions en cette lecture…une âme débordant de poésie… Coup de gueule coup de cœur… l'auteur se livre bien… le titre annonce la couleur

S’il fallut une raison pour écrire, la mienne fut bien évidente! Présente parmi les miens, sans jamais rien dire, non par choix, ni par timidité mais parce-que les « chut » pesaient, sur ma position de benjamine à couettes et puis les plus grands savaient déjà, que les mots que j’allais prononcer étaient aussi dérisoires qu’un grain de sable au milieu d’un désert. Je n’avais le droit de parler, que pour répondre à une question et encore il ne fallait pas faire long alors à treize ans comme les amis imaginaires ne faisaient pas bon ménage avec l’adolescence et la raison, j’ai trouvé en une feuille blanche de maux, bonne confidente.
Au coin de ma solitude, assise face à un savoir que je ne pouvais absorber, je lui parlais, silencieusement, discrètement et elle restait là sans bouger à attendre patiemment que sonne la fin de mes complaintes, je lui racontais toutes ces choses, qu’on n’ose conter même aux plus proches parents, et lui confessais les bêtises que j’avais commises innocemment, elle portait sans plier mes secrets, ces troubles d’enfance, elle ramassait mon cœur brisé par ces amours qui comptaient bien trop d’années de différence, elle essuyait mes colères quand mes amies oubliaient de l’être. Tant de fois elle m’a entendue accuser les hommes de blesser, d’écorcher la Terre, devant elle je décrivais l’enfer, que c’était de vivre là, d’être femme, d’être moi, je ne cessais de faire rimer mes peines et me sentais aussitôt légère, comme cette plume entre mes doigts, alors pour respirer, avancer, exister, j’écrivais, aujourd’hui encore j’écris.
J’écris des lettres ouvertes en forme de poésie, par habitude surtout par besoin, pour continuer de rêver, de penser, juste pour ne pas m’éteindre, je me fais saigner devant vous, mon sang coule à petits mots et tâche l’écran qui me reflète.
À présent la solitude n’est qu’un vague souvenir mais j’aime encore étaler noir sur blanc mon passé, sans aller vraiment au bout, il me reste quelques tabous, que je n’ose partager avec vous, je crie souvent mon amour à ceux qui veulent bien l’entendre, je hurle mon désamour à ceux qui ne veulent rien comprendre, j’avoue mes infidélités, mes mensonges et mes regrets, parfois je parle de mes désirs, de mes envies sans tabou, j’invoque la mort en chuchotant et mon dégoût envers ceux qui la sèment, je loue les peintres et leur capacité à dire en dessins ce qu’ils voient, oui, j’écrivais, j’écris encore à genoux, de cette vie qui me regarde de haut, parce-que à son goût je l’ai trop souvent contredite, insultée même méprisée, puis je lui pardonne et lui présente mes plus plates excuses en lui écrivant le bonheur de la voir à l’œuvre, j’écris ce que je ressens, ce que je vis, ce que j’espère, j’écris sinon je sombre dans une quiétude pathétique, par passion, par émotion. Voilà comment, voilà pourquoi et qu’importe si l’on me comprend ou pas, qu’importe si l’on trouve cela beau, qu’importe si ça raisonne en vous, j’écris et puis c’est tout et si un jour ma plume sèche de son encre puis se casse, je froisserai ce qu’il me reste de pages et je lirai les vôtres.


Des instants de plénitude en vous lisant…de magnifiques lectures difficiles à départager…
Vous méritez tous une médaille
Grand merci au jury… Il est à noter qu’il est de plus en plus difficile de trouver des volontaires et sachez que sans juge les concours ne pourraient perdurer…Lys et moi-même espérons votre soutien

 
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#7
Et bien CHIC alors ! Car pas de rimes à chercher et donc de ce fait .......pas de fautes de rimes enfin "tel mot ne rime pas avec ..... " on aura pas ces critiques -là ! Youpi !
_ Et pourquoi pas en PROESIE ?
Moi j'aime bien , il m'arrive d'écrire souvent en Proésie



Au fait tout le monde connait ce qu'est la Proésie ? Peut-être bien que Non au fait ?
Ah , là tout ce suite , à cet instant présent , j'ai comme l'impression que je vais apprendre quelque chose à quelques-uns ....
Bon voilà ce qu'est la PROESIE , j'ai découvert ce mot il y a environ 3 ou 4 ans déjà , dans 1 grand site de poésie , fort détaillé , avec tous les termes inimaginables plus ou moins connus ,

La PROESIE ,.... moi j'aime
c'est de la Poésie (bien-sûr ! )
mais sans les rimes , ...... oui on peut l'appeler de la Poésie Libre , si on veut aussi


... Mais c'est beaucoup plus joli que de la simple PROSE bien-sûr, si on compare
C'est joli je trouve .....
Quoique de la belle Prose un peu (ou beaucoup) Poétisée , ressemble à de la Proésie , je trouve .....


Voilà , un beau texte , un bel écrit , poétique , romantique etc etc , bien présenté , à la manière d'un poème
.... mais en l'absence de rimes est ...
une ou de la PROESIE .......


Voilà mes Chers Amis Poètes !

Bon je reviens à ma 1ère phrase sur le sujet du concours :
CHIC , pas de rimes à chercher et à trouver et surtout surtout :
Très BEAU SUJET Inspirant !
Merci à Jacqueline
(Prose 16 )
 
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#8
Et bien CHIC alors ! Car pas de rimes à chercher et donc de ce fait .......pas de fautes de rimes enfin "tel mot ne rime pas avec ..... " on aura pas ces critiques -là ! Youpi !

Et pourquoi pas en PROESIE ?
Moi j'aime bien , il m'arrive d'écrire souvent en Proésie !
Au fait tout le monde connait ce qu'est la Proésie ?


Peut-être bien que Non au fait ?

Ah , là tout ce suite , à cet instant présent , j'ai comme l'impression que je vais apprendre quelque chose à quelques-uns ....

Bon voilà ce qu'est la PROESIE , j'ai découvert ce mot il y a environ 3 ou 4 ans déjà , dans 1 grand site de poésie , fort détaillé , avec tous les termes inimaginables plus ou moins connus ,

La PROESIE ,.... moi j'aime
c'est de la Poésie (bien-sûr ! )
mais sans les rimes , ...... oui on peut l'appeler de la Poésie Libre , si on veut aussi

... Mais c'est beaucoup plus joli que de la simple PROSE bien-sûr, si on compare
C'est joli je trouve .....
Quoique de la belle Prose un peu (ou beaucoup) Poétisée , ressemble à de la Proésie , je trouve .....


Voilà , un beau texte , un bel écrit , poétique , romantique etc etc , bien présenté , à la manière d'un poème
.... mais en l'absence de rimes est ...
une ou de la PROESIE .......


Voilà mes Chers Amis Poètes !

Bon je reviens à ma 1ère phrase sur le sujet du concours :
CHIC , pas de rimes à chercher et à trouver et surtout surtout :
Très BEAU SUJET Inspirant !

Merci à Jacqueline
(Prose 16 )
merci pour tous ces renseignements
 

79didou

Maître Poète
#9
Et bien CHIC alors ! Car pas de rimes à chercher et donc de ce fait .......pas de fautes de rimes enfin "tel mot ne rime pas avec ..... " on aura pas ces critiques -là ! Youpi !

Et pourquoi pas en PROESIE ?
Moi j'aime bien , il m'arrive d'écrire souvent en Proésie !
Au fait tout le monde connait ce qu'est la Proésie ?


Peut-être bien que Non au fait ?

Ah , là tout ce suite , à cet instant présent , j'ai comme l'impression que je vais apprendre quelque chose à quelques-uns ....

Bon voilà ce qu'est la PROESIE , j'ai découvert ce mot il y a environ 3 ou 4 ans déjà , dans 1 grand site de poésie , fort détaillé , avec tous les termes inimaginables plus ou moins connus ,

La PROESIE ,.... moi j'aime
c'est de la Poésie (bien-sûr ! )
mais sans les rimes , ...... oui on peut l'appeler de la Poésie Libre , si on veut aussi

... Mais c'est beaucoup plus joli que de la simple PROSE bien-sûr, si on compare
C'est joli je trouve .....
Quoique de la belle Prose un peu (ou beaucoup) Poétisée , ressemble à de la Proésie , je trouve .....


Voilà , un beau texte , un bel écrit , poétique , romantique etc etc , bien présenté , à la manière d'un poème
.... mais en l'absence de rimes est ...
une ou de la PROESIE .......


Voilà mes Chers Amis Poètes !

Bon je reviens à ma 1ère phrase sur le sujet du concours :
CHIC , pas de rimes à chercher et à trouver et surtout surtout :
Très BEAU SUJET Inspirant !

Merci à Jacqueline
(Prose 16 )
Entièrement d'accord avec toi. La prose nous libère de nombreuses contraintes. Elle nous permet plus de liberté dans l'expression de nos histoires. La prose poétique est un style très particulier qui est capable de transporter le lecteur. Et le sujet est très intéressant qui plus est. Je sens que ce concours sera encore prolifique pour de nombreux candidats. J'ai hâte de vous lire. Bonne journée à vous toutes et tous ami(e)s poètes(ses).
 

janu

Maître Poète
#10
Doublement d'accord : Un beau thème proposé par Prose16, et... à traiter en prose, plus facile à détailler cette passion
qu'en poésie, fut-elle libre. Mais pourquoi pas de la prose cadencée quel que soit le nom qu'on puisse lui donner !
Du bon grain à moudre en tout cas... en avant toute !
Amitiés
 
O

originale

Guest
#13
CONCOURS « la passion d’écrire »
Thème retenu d’après une suggestion de Prose16

Du 23 septembre au 2 octobre
Résultats le 5 octobre


Envoi de vos poèmes en copier/coller sur mon MP

Thème :
* Qu’est- ce qui vous incite à écrire, d’où viennent cette envie, ce besoin, cette passion ?
* Quelles sont les catégories de poèmes où vous sentez le plus et le moins à l’aise ? (amitié, nature, érotisme, fantastique etc.…)


Développez ces deux questions

Contrainte : écrire en prose

Attention à l’orthographe et à la ponctuation !

Vos poèmes seront notés comme à l’accoutumée avec impartialité et dans le respect total des consignes.

Chef de jury : Llumierelive

Si vous souhaitez faire partie du jury me contacter sur mon MP

Livrez –nous votre passion


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J'adore le sujet et souhaite participer au concours,
mais j'ai peur de la date de clôture, un peu juste
vu la lenteur que je mets à écrire deux vers...
Mais bon, je vais faire mon maximum concernant ce sujet...
Sinon, ben il sera hors concours simplement...



Bonne chance à tous les participants....

Cristou o_O
 
Dernière édition par un modérateur:
#14
J'adore le sujet et souhaite participer au concours,
mais j'ai peur de la date de clôture, un peu juste
vu la lenteur que je mets à écrire deux vers...
Mais bon, je vais faire mon maximum concernant ce sujet...
Sinon, ben il sera hors concours simplement...


Bonne chance à tous les participants....

Cristou o_O
Il n'y a pas de vers dans une prose.
Ce n'est pas un poème.
Il n'y a pas de contraintes de longueur d'après les consignes. Vous pouvez écrire à votre aise ce que vous ressentez.
Bon courage.
 

JPdeLille

Maître Poète
#18
Des styles et des parcours différents avec des points communs: la passion et la nécessité irrépressible de l'écriture, le talent de votre expression... Plaisir de vous lire toutes et tous... Bravo pour ces participations pleines de vraie passion.... merci à Jacqueline qui a suggéré et à Murielle qui a su gérer de A à Z comme elle sait si bien le faire...
Mon choix (difficile) diffère peu de celui du jury
Bravo à tous, bises aux Dames... une de plus aux lauréates
 
Dernière édition:

zuc

Le chat noir
Membre du personnel
#19
Bravo à tous,
surtout à Prose16 car il aurai été dommage que sur un tel exercice elle ne soit pas récompensée;)

je suis entièrement en accord avec les critiques du jury concernant mon texte, je savais que j'avais sauté toute un aspect de la création littéraire mais comme je l'ai écrit en introduction "D'abord il faut que vous compreniez que je fus peintre avant d'être poète... Un besoins irrésistible de création... Mon premier métier fut graphiste."
oui ma passion artistique pour la peinture enfflammera toujours plus mon coeur

j'avais préparé un second texte parlant et mettant en comparaison des oeuvres poètiques et des grands peintres, associant chanteurs, peintres et poètes mais j'ai trouvé qu'il faisait redondance avec mon premier
je vous fait part juste de la conclusion :

La poésie est la musique du coeur un chant de liberté qu'apporterai à tous les poètes rêveurs comme aux poètes révoltés
la "liberté guidant le peuple de Delacroix"
dans un brouhaha de barricades de chants révolutionnaires, d'odeurs de sang et de fumées,
d'amours et de passions emplis de tragédies de drames, c'est Gavroche, c'est le peuple,
et exaltant tous nos sens c'est l'espoir et la souffrance.
nous sommes tous des écorchés de la vie, nous écrivons les maux de notre temps,
c'est ainsi que je le ressent et si ma poésie est modeste,
ô combien j'aimerai être un Zola un Victor Hugo pour que mes mots portent haut les idées qu'ils animent,
du ruisseau jusqu'au flambeau.

Eugène_Delacroix_-_La_liberté_guidant_le_peuple.jpg
 
Dernière édition:

lyseron

Je reviens de loin, mais je ne vous oublie pas....
Membre du personnel
#20
A Zuc,
Étant dessinatrice de métier et de formation je peux comprendre tes commentaires, disons que tu es le peintre des mots, de toutes manières félicitations pour tes deux écrits et le choix de ce tableau tellement symbolique...Amitiés...Lys


 
Statut
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