Une lecture qui me touche particulièrement. Tu explicite tellement cette descente insidieuse
mais ce refus d'admettre que la fin s'approche. D'ailleurs n'est-ce pas notre devoir, il n'empêche
tu l'as vu que parfois l'on y songe. Un magnifique crédo à ton Papa et je mesure tout le vide
que son départ a laissé
Grosses bises amicales
Jan