Je te vois, bel oiseau libre, oui je t’admire,
Et tes douces mélodies dans mon cœur se mirent.
Ton chant éternel, chassera bien ma tristesse:
A la forêt, aux champs, dans la ville: adieu stress !
Ici, la plaine s’assombrit, là le jour se lève,
Mon amour pour toi n’a connu aucune trêve:
Eternelle vigie et combattant tenace ;
A tes ordres, il serait un cheval de pure race.
Fais de lui à la fois ta monture et ton rêve;
Ordonne : tu es la maîtresse, lui l’élève.
Ne pense plus aux jalousies et aux remords;
De tels sentiments mènent parfois à la mort.
N.B Lire les lettres rouges verticalement
Par Driss DROUCHE le 19/08/2011
CORRECTEUR/RELECTEUR DE THÈSES ET MÉMOIRES ET MANUSCRITS D'OUVRAGES
Email: sihamoun@hotmail.com
NB Un petit message est à découvrir en utilisant les initiales des vers.
Et tes douces mélodies dans mon cœur se mirent.
Ton chant éternel, chassera bien ma tristesse:
A la forêt, aux champs, dans la ville: adieu stress !
Ici, la plaine s’assombrit, là le jour se lève,
Mon amour pour toi n’a connu aucune trêve:
Eternelle vigie et combattant tenace ;
A tes ordres, il serait un cheval de pure race.
Fais de lui à la fois ta monture et ton rêve;
Ordonne : tu es la maîtresse, lui l’élève.
Ne pense plus aux jalousies et aux remords;
De tels sentiments mènent parfois à la mort.
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Par Driss DROUCHE le 19/08/2011
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